La SœUr De Mon Voisin 1

J'ai toujours trouvé que la sœur de mon voisin était belle et délicieuse, mais je n'ai jamais osé lui dire quoi que ce soit en raison de ma relation amical avec son frère, qui était mon meilleur ami. Du haut de ses 19 ans, c'était une succulente créature aux seins assez petit mais parfait, rond et bien formés. Ses fesses pas trop bombées à la courbure parfaite et la finesse de son corps était un sérieux atout pour elle. Mais ce que je préférais chez elle, c'était ses pieds que je qualifiais souvent de délicieux.
Tout ça avait commencé en 2012, lors de la coupe d’Europe. J'étais chez mon voisin avec quelques potes et on regardait un match de l'équipe de France. Soudain, j'entendis un doux "salut". Je me retournais donc pour admirer la splendeur de la sœur de mon voisin. Elle était habillé d'un mini short et de long collant, d'une chemise en jeans. Son maquillage et son rouge à lèvre la rendait sublime, mais de tout ça, je ne retins que ses pieds nus caressant le sol. Je les admirais pendant un certain temps, jusqu'à ce qu'elle remonte. Depuis ce jour, à chaque fois que je vais chez mon voison pour picoler ou autre chose, je prends quelques minutes pour aller au toilettes en face de sa chambre pour la voir couché sur son lit et admirer la plante de ses pieds. Parfois, je restais un peu aux toilettes pour me masturber.
Mais ce jour là, le 21 juin 2015, alors que nous étions entrain de jouer au poker dans le garage de mon pote, sa soeur descendit pour prendre du gateau dans le frigo. Elle était pied nus, avec juste un haut et une petite culotte blanche, jambes nue. Elle me lança un petit sourire avant de remonter. Je n'arrivais plus à me concentrer sur la partie de poker. N'y tenant plus, j'ai dis aux autres que j'allais pisser. En vérité, je voulais juste me taper une branlette. Je montais donc lentement les escaliers et je m'installais dans les chiottes. Au moment ou je baissais mon pantalon, la soeur de mon voisin ouvrit la porte.

Légèrement surprise, elle se fendit d'un sourire. Je me levais immédiatement avant de sortir.
- Tu n'as pas eu le temps de faire pipi ?
- Euh non, mais c'est pas grave.
Sans aucune gêne, elle ôta son caleçon et s'assit sur les toilettes. Je fermais la porte avant de respirer un bon coup. Dans la confusion, au lieu de descendre rejoindre les autres, je suis aller dans sa chambre. Me rendant compte que j'étais dans sa chambre, je m'empressais de sortir. Mais elle était planté devant la porte.
- Qu'est ce que tu fous dans ma chambre ?
- Euh rien.
- Me dis pas rien, je vais pas t'engueuler c'est bon.
Elle s'approcha de moi, si bien que je pu sentir son souffle chaud sur mon visage. Puis je me suis dis qu'est ce que j'ai à perdre ?
- En fait, je voulais te parler. Mais j'ai hésiter donc je suis partis.
- D'accord, de quoi tu voulais me parler ?
- Euh... En fait, je t'ai toujours trouvé belle.
Je me sentais con, mais elle affichait un sourire. Elle posa ses mains sur mes épaules et se mit sur la pointe des pieds pour m'embrasser. Mon érection était forte, elle était tellement proche de mon corps que ma bite entra en contact avec son caleçon.
- Ne me dit pas que t'es un précoce ?
- Non, ne t'inquiète pas.
Sur ces mots, elle fit glisser sa main le long de mon ventre juqsqu'à l'énorme bosse de mon pantalon. Alors que j'étais entrain de glisser mes mains dans sa culotte, elle se détacha de mon emprise.
- Désolé mais je peux pas.
- Pas de problème, je vais retourner en bas alors...
Je fit de mon mieux pour ne pas sembler triste mais j'étais vraiment déçu. Je descendis les marches pour descendre au rez de chaussé, avec l'intention de retourner dans la cave. C'est la que je vis mon paquet de clope sur la table basse du salon, moi qui n'avait pas fumé depuis le début de la partie de poker, j'étais fière de retrouver mon paquet. Je m'assis un instant sur le canapé et j'allumais une cigarette avant d'allumer la télé. Mon coeur s'emballa lorsque la soeur de mon voisin fit son apparition dans le salon. Elle s'installa sans un mot à mes côtés et posa ses pieds sur mes jambes. Mon érection ne se fit pas attendre, je rêvais de poser mes mains sur ses beau pieds et de les lècher par la suite.
- Tu sais, on peut rester ami. Ce serait trop bizarre pour mon frère de voir son meilleur pote avec sa soeur.
- Oui, tu as raison. Restons ami.
Sur ces mots, elle éclata de rire avant de me poser la plante de son pied gauche sur le visage.
- Arrête, c'est dégueulasse !
- C'est bon, j'arrête.
J'avais dit ça par peur de passer pour un idiot, mais en réalité l'odeur de ses pieds me restait gravé dans la tête. C'est alors qu'elle me demanda l'impensable.
- Tu peux me faire un massage ? J'ai couru aujourd'hui, j'ai mal au pied.
J'ignorais si c'était vrai, ou si elle voulait juste continuer à prendre du plaisir avec moi. Peu importe, je n'allais pas refuser d'accomplir mon rêve.
- Si tu veux, mais je te préviens je suis pas un bon masseur.
- C'est pas grave, tant que ça me soulage les pieds.
Je respirais un bon coup, frotta mes mains les unes contre les autres avant de les déposer délicatement sur ses pieds. D'une main, je lui caresser le haut du pied, de l'autre je passais mes doigts entre ses orteils. Ma bite n'en pouvait plus, je bandais tellement que j'avais mal. Les fantasmes se mélangeait dans ma tête, je m'imaginais toute sorte de chose pour la suite de cette séance.
- Tu vas bien ? Tu tremble.
- Oui oui, c'est juste que je trouve ça excitant, tu m'excite.
- Tu veux arrêter ?
- Non ! Euh, je peux les lécher ?
- Vu comment tu bande, ce serait vraiment dégueulasse de te refuser ça.
J'étais vraiment aux anges. Sans plus attendre, je soulevais une de ses jambes pour approcher son pied de mon visage. Je pris le temps de le sentir, de le caresser contre mon visage avant de mettre son gros orteil dans ma bouche. Je fit de même avec tout les autres, avant de lécher le dessous de son pied à pleine langue. Je fit de même avec le dessus. Quelques secondes plus tard, l'excitation était tellement forte que j'enfonçais son pied dans ma bouche. De la salive coulait sur mon t-shirt, mais je m'en moquais. Elle avait l'air de sérieusement aimer ça, je fit donc exactement la même chose avec l'autre pied.
- C'était génial, j'ai adoré !
- Content que ça t'ai plu.
- Tu m'as vraiment excitée, ce serais dommage d'en rester là.
Elle ôta son haut, dévoilant ses petits seins qui en fait était plus gros que je le pensais. Elle s'assit à califourchon sur moi, passa ses jambes derrière mon dos et m'embrassa. J'ôta à mon tour mon haut afin que ma peau soit en contact avec la sienne. C'était divin, ma bite n'en pouvait plus, son cul frottait agréablement mes couilles à travers le pantalon. Pris d'une soudaine prise de confiance, j'attrapais son sein droit dans ma bouche. Malheureusement, alors qu'elle était entrain d'ouvrir ma braguette, on entendit la porte de la cave s'ouvrit. Je remit mon t-shirt rapidement, elle fit de même et se cacha derrière le canapé. Après une bref discussion avec mes potes, je décidais de redescendre jouer au poker. À la fin de la soirée, la sœur de mon voisin glissa un papier dans la veste de mon gilet que j'avais laissé en haut, c'était son numéro.
À suivre...